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09 Juin

Bien-être émotionnel : vers l’autonomie affective

Vers un bien-être émotionnel : Les étapes clés de l'autonomie affective

À toi, belle personne,

Aujourd’hui, dans cet article de blogue, je t’amène dans une plongée encore plus profonde dans les mystères de l’autonomie affective, comme entre amis curieux d’en découvrir tous les recoins. Attache ta ceinture, car je vais te dévoiler  encore plus d’informations qui te manquaient, comme si nous partagions des confidences autour d’une tasse de café.

Fondements de l'autonomie affective

Si tu es ici, c’est probablement parce que tu as déjà une certaine expérience de l’autonomie affective. Cependant, la répétition est essentielle pour que cette connaissance passe de l’esprit au cœur et devienne aussi naturellement accessible que de parler ta langue maternelle.

1. Comprendre l'autonomie affective

Pour commencer, rappelons rapidement ce qu’est l’autonomie affective. C’est la capacité à satisfaire tes besoins affectifs et relationnels révélés par ton corps émotionnel, sans dépendre des facteurs extérieurs (événements, possessions, actions, apparences) pour éprouver des sentiments positifs de bonheur. Cela signifie être en mesure de faire face aux hauts et aux bas de la vie sans que cela se transforme en montagnes russes émotionnelles ou en anxiété.

2. Les avantages de l'autonomie affective

L’autonomie affective permet de corriger la cause de près de 80% du stress, d’améliorer tes relations interpersonnelles, de développer ta résilience et, finalement, de prendre des décisions éclairées pour ton épanouissement personnel et celui de ceux que tu aimes.

3. Les limites de l'autonomie affective

L’autonomie affective est une compétence précieuse qui permet à chacun de devenir son propre meilleur ami, quelles que soient les circonstances. Aucune situation extérieure, même les plus extrêmes comme un deuil ou une crise grave, ne peut en diminuer les bienfaits. Au contraire ! C’est pour cette raison que les thérapeutes en autonomie affective insistent sur la pratique quotidienne de cette compétence. La répétition facilite l’apprentissage et l’intègre dans le subconscient, rendant cette compétence automatique, surtout lorsque le cerveau est moins disponible en raison de l’urgence de la situation.

La seule véritable limite à cette pratique est celle que vous vous imposez en ne la pratiquant pas. C’est comme posséder l’aspirateur le plus performant : si vous ne l’utilisez pas, la poussière s’accumule, et il serait absurde de blâmer l’aspirateur !

Conseils pratiques pour renforcer ton autonomie affective

Maintenant que tu as revisiter la définition de l’autonomie affective, passons à la partie pratique.

1. Cultiver une plus grande conscience émotionnelle

Il est primordial, pour pratiquer l’autonomie affective, de cultiver une conscience émotionnelle profonde. Prends le temps de reconnaître et de nommer tes émotions. Pratique la pleine conscience pour être pleinement présent à ce que tu ressens dans l’instant présent. Plus tu es en contact avec tes émotions, même les plus subtiles, plus tu as le potentiel de grandir. Une fois que tu ressens, il est temps de passer à la première étape du processus d’autonomie affective: celle d’écouter.

2. Pratiquer l'autocompassion au quotidien

L’autocompassion est une compétence essentielle pour développer l’autonomie émotionnelle. Apprends à te traiter avec bienveillance, comme tu le ferais pour un ami cher. Lorsque tu prends le temps d’écouter ton discours intérieur face à un mal-être émotionnel, aussi laid, violent ou absurde soit-il, rappelle-toi que tes croyances ne te définissent pas. Ainsi, si tes pensées sont négatives, cela ne signifie pas que tu es une mauvaise personne. Elles ressemblent à une tache sur un vêtement : pour la nettoyer, il faut d’abord savoir où elle se trouve. Dans les moments difficiles, offre-toi le même soutien et la même écoute que tu offrirais à une personne aimée, ou accorde-toi la compréhension et l’empathie dont tu as besoin pour avancer. Cela nécessite de ne pas se juger, juste écouter. Une fois l’écoute terminée, il est temps de passer aux étapes suivantes : remplacer les croyances nuisibles qui sabotent ton affectivité et trouver des solutions aux problèmes réels.

3. Gérer les émotions dans les relations interpersonnelles

Les relations interpersonnelles offrent un terrain fertile pour développer son autonomie affective et pratiquer une communication saine. Apprends à gérer tes émotions et à t’attaquer au problème plutôt qu’à la personne en face de toi. Pour maintenir et encourager des relations positives, il est essentiel d’apprendre à exprimer clairement ses besoins et ses limites face à une situation problématique.
 

*Gérer ses émotions : éviter de projeter son état émotionnel sur l’autre, et établir un dialogue intérieur pour répondre à ses besoins affectifs tout en cherchant des solutions adaptées aux besoins relationnels.

4. Arrêter de fuire les situations confrontantes

Être autonome affectivement, c’est s’engager à combattre toutes les croyances qui t’empêchent de te sentir bien et libre dans la réalité actuelle. En raison de notre fonctionnement humain, il n’est possible de combattre ces croyances que lorsqu’elles nous font souffrir, c’est-à-dire lorsque nous y sommes confrontés. Fuir les situations confrontantes empêche toute pratique et te condamne soit à la fuite constante, soit à revenir de ces situations en miettes.

En conclusion, l’autonomie affective est une compétence essentielle pour mener une vie équilibrée, tant sur le plan émotionnel qu’affectif.

Au début, ce n’est pas facile à mettre en place. Il est important d’être réaliste et de se faire aider. C’est pour cela que je suis ici : pour t’accompagner à traverser le brouillard qui semble si dense et infini au départ.

En comprenant ces conseils fondamentaux et en les mettant en pratique, tu pourras progresser vers le bien-être que tu mérites. Continue donc à cultiver cette compétence précieuse pour que ta vie soit empreinte de sérénité et d’épanouissement.

Ensemble, progressons vers le mieux-être.

Julie conseillère bien-être, ta coach en santé globale

Le temps de l’inaction est terminé ! Si cet article a trouvé écho en toi, engage-toi sans attendre dans une transformation personnelle et regarde ta vie s’épanouir comme elle ne l’a jamais fait.

Julie conseillère Bien-Être, ta coach en santé globale

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